Mon collègue de la blogosphère, Me Hugo Cyr, professeur de droit public et de théorie du droit au département des sciences juridiques de l'UQAM, mentionnait que la Chine avait récemment admis qu'elle prélevait les organes des condamnés à mort pour ensuite les vendre.
Le site belge d’Amnistie international nous informe que cette pratique, en Chine, tire son origine d’une une loi datant de 1984 autorisant la pratique, à condition que la famille du prisonnier donne son autorisation par écrit ou si celle-ci ne réclame pas le corps.
Or, toujours selon Me Cyr, la Caroline du Sud proposerait de réduire les sentences criminelles aux personnes effectuant un don de rein ou de moelle. Il reste que cette tendance, tant américaine que chinoise, a de quoi inquiéter.
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